La balade ne s'effectue qu'à marée basse en marchant uniquement sur des galets .
Le point de vue vaux l'effort .
Un beau point de vue au pied de la chapelle.
A faire
Cette chapelle est construite à l'endroit même où des objets sacrés (calice et ostensoir) volés à la Grand'Eglise et à Saint-Chamond la nuit de Noël 1662 sont retrouvés.
En 1725, elle est remplacée par une chapelle plus importante et est dotée d'un grand retable d'autel en bois doré.
Puis, détruite à une période indéterminée, elle est à nouveau reconstruite en 1840 : c'est la chapelle que nous pouvons voir actuellement.
Sa nef plafonnée est éclairée par quatre fenêtres. Au centre, on voit une dalle datée de 1734 portant le calice dérobé encadré de feuillages. Dans le petit choeur à sept pans, un vitrail relate l'histoire du vol. La façade de type industriel est surmontée d'une grande Vierge en fonte.
Lieu chargé d'histoire avec une chapelle plus ancienne (XIIème siècle) et une plus récente (XVème siècle) qui est collé à l'autre. Il y a des tables pour s'assoir et pique-niquer.
La chapelle est, de mémoire, ouverte l'été et elle nécessite le coup d'oeil!
Quelques réceptions ont lieux également de mémoire, à des dates clefs de la vie chrétienne.
Cette chapelle est restaurée à l'extérieur comme à l'intérieur, sa voûte est fort belle. Mais on ne vient pas dans cette chapelle découvrir une architecture extraordinaire mais une réalisation de Carmelo Zagari. Ce fils de mineur, né en 1957, a créé pour cette chapelle une série de vitraux, œuvre figurative, colorée, empreinte de spiritualité sur le thème de la mine et des mineurs.